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Cookies, pop culture et greenwashing
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C’est la faute de :
Julien Hamon-Silber,
Directeur artistique Indexel
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La fin des cookies tiers :
poudre aux yeux
ou véritable séisme digitalJe veux connaître mes ciblesEntre les 12 mises à jour que Google a opéré l’an passé, les évolutions multiples vouées à résoudre des bugs et surtout quatre core updates… Il est certain que Google n’est pas tendre avec nos stratégies de référencement.
Et en 2020 me direz-vous ? Le moteur de recherche nous envoie les mêmes signaux et cette fois-ci, il semble vouloir changer les règles concernant nos précieuses stratégies de retargeting ! Ah sacré Google.
Dès janvier, il annonçait vouloir éliminer progressivement les cookies tiers. Il n’en fallait pas plus pour créer un petit tremblement de terre dans le monde de la pub et du data marketing. On en vient carrément à se demander si la publicité ciblée est vouée à disparaître.
Dans tous les cas, ce qui est sûr, c’est que dans deux ans, c’est un nouveau modèle d’identification des internautes qui se mettra en place.
Je vous explique.
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Pop in the City
ou quand la pop culture
s’invite en marketingJe plonge dans la pop cultureElle est universelle, appréciée par le plus grand nombre et suscite systématiquement de l’émotion, en bien ou en mal. Elle ne laisse jamais indifférent car elle s’adresse au cœur des individus et à leur cerveau émotionnel.
La pop culture, si vous savez l’utiliser sans en abuser, constitue un formidable levier marketing pour votre marque, votre business.
Et si vous adoptiez quelques-uns de ses codes pour changer de « tone of voice », rendre votre communication plus fun, plus transgénérationnelle ?
Je vous livre quelques pistes pour y vous retrouver dans ce formidable terrain de jeu, que vous soyez marketeur ou communicant, en B2C comme en B2B.
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Greenwashing :
les quatre nuances de vertJ'admire les quatre nuances« Make our planet great again » Emmanuel Macron.
« How dare you? I want you to panic! » Greta Thunberg.
« Le réchauffement climatique, faut pas blaguer avec ça. -3° dans les Yvelines ce matin »
Pascal Praud.Ah ça c’est sûr, en 2019 on en a beaucoup parlé, de l’état de la planète. Du politique peu convaincu, en passant par la jeune activiste pour le climat jusqu’au journaliste climatosceptique, tout le monde avait son mot à dire.
Le score d’Europe Ecologie Les Verts aux dernières européennes a évidemment confirmé dans les urnes que c’était LE sujet de préoccupation de la décennie qui s’ouvrait. Et les entreprises ne sont pas en reste. Forcément, chacune a sa manière d’aborder le sujet dans sa communication.
C’est là que ça se complique… Entre sincérité des démarches, stratégies de contournement et pur greenwashing, difficile de faire le tri (sélectif). Du coup, j’ai décidé de mettre un peu d’ordre là-dedans. J’en suis arrivé à quatre type d’approches : l’argument vert mais un peu vague, l’identité de marque à la sauce verte, l’alibi écolo pour compenser et la surjustification verte. C’est par ici pour plus de détail et découvrir mon analyse.